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Vendredi 28 Août 2015 - 16:45

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Soudan du Sud: la polémique réapparait malgré la signature de l’accord de paix

Quelques jours après la signature de l’accord de paix, le chef de l’Etat Soudanais, Salva Kiir a présenté à la médiation un document officiel dans lequel il a émis ses réserves. Il refuse par exemple de partager le pouvoir avec son futur vice-président, Riek Machar. Il rejette aussi les modalités d’administration des Etats d’Unité et du Haut-Nil. Dans ces deux Etats-clés, les gouverneurs devront être choisis parmi les rebelles. Enfin, il réclame 70 % des postes de l’exécutif local dans ces Etats.

Après avoir pris connaissance de toutes ces revendications, Riek Machar a immédiatement réagi depuis Addis-Abeba, en dénonçant des propos « décourageants qui jettent le doute sur la sincérité de Salva Kiir et sur son engagement à respecter l’accord de paix ».

Crise des migrants : l’ONU appelle l’Europe à redéfinir sa politique migratoire

Alors que le nombre de migrants fuyant la violence dans leurs pays d’origine à destination de l’Europe ne cesse d’augmenter, le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, António Guterres, a appelé l’Union européenne à accélérer l’élaboration d’une réponse collective adéquate à cette crise sans précédent.

Par ailleurs, des images montrant des milliers de migrants bloqués depuis plusieurs jours à la frontière entre la Grèce et l’ex-République yougoslave en essayant de forcer le passage pour atteindre l’Europe occidentale ont choqué le monde. Suite à ce chao, un expert des droits de l’homme de l’ONU a également demandé aux pays Européens à revoir totalement leur politique migratoire.

Zimbabwe: Robert Mugabe interdit les licenciements massifs

Le président zimbabwéen Robert Mugabe vient de signer la nouvelle loi interdisant les licenciements massifs ayant touché les entreprises publiques et privées du pays à la suite d’une décision de la Cour Suprême.

Selon les syndicats, au moins 30.000 emplois ont été supprimés depuis la décision de la Cour Suprême qui a rendu en juillet dernier un arrêt autorisant les employeurs à renvoyer des salariés, à condition de leur donner un préavis de trois mois.

Yvette Reine Nzaba

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