Une jeune fille assassinée à Siafoumou

Selon les témoignages recueillis sur place, la jeune fille serait sortie  du toît familial, le  27 février, avec sa sœur mariée.  En dépit des communiqués lancés dans les medias de la place, aucune trace de la fille n’a été signalée jusqu’au moment où les jeunes du quartier vont découvrir dans une parcelle inhabitée, gisant dans les herbes touffues, un corps dévêtu presque en état de décomposition et extirpé des organes génitaux.

Cet horrible crime survient un mois après le dernier acte crapuleux qui a eu lieu presque dans les mêmes circonstances au quartier Tchali dans le 5^e arrondissement  Mongo Mpoukou.

Une barbarie qui interpelle la population qui implore les services de la force publique d’ouvrir un peu plus l’œil et de redoubler de vigilance car la récurrence de ces crimes devient plus qu’inquiétante à Pointe-Noire. En effet, depuis un certain temps, les populations se plaignent de  la recrudescence du grand banditisme dans la ville océane avec d’incessants cas de vols à main armée, braquages, viols et assassinats  perpétrés par des bandits et autres malfrats de tout acabit.