Les Dépêches de Brazzaville



Marché de la poésie 2014 : Thierry Manirambona répond au « questionnaire Pivot »


Le poète burundais Thierry Manirambona, sur le stand Livres et auteurs du Bassin du Congo lors du 32ème Marché de la poésie à  Paris ©AdiacVotre mot préféré ?

Espérance.

Le mot que vous détestez ?

Violence.

Le son, le bruit que vous aimez ?

Le son du piano.

Le son, le bruit que vous détestez ?

La voix humaine quand elle est trop forte, quand elle est élevée.

Votre juron, gros mot ou blasphème favori ?

Je n'en ai pas.

Le métier que vous n'auriez pas aimé faire ?

Je crois que je ferai n'importe quel métier.

La plante, l'arbre ou l'animal dans lequel vous aimeriez être réincarné ?

Une hirondelle.

Si Dieu existe, qu'aimeriez-vous, après votre mort, l'entendre vous dire ?

Tu as essayé.

Comment vous est venue l'envie d'écrire ?

En lisant les pères de la poésie africaine. 

Que cherchez-vous à traduire par vos poèmes ?

L'espérance.

Votre actualité littéraire ?

Je suis en train de co-écrire un roman avec une jeune écrivaine rwandaise. Je veux également pouvoir développer mon blog qui parle de la littérature burundaise.


Propos recueillis par Rose-Marie Bouboutou

Légendes et crédits photo : 

Le poète burundais Thierry Manirambona, sur le stand Livres et Auteurs du Bassin du Congo lors du 32e Marché de la poésie à Paris (© Adiac).