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Samedi 5 Octobre 2013 - 10:15

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À l’heure où se tient à Brazzaville un séminaire de sensibilisation à la prévention routière organisé par le commissariat central, nous choisissons de comprendre la récurrence des accidents de la route dont nous sommes tristement les spectateurs. Il y a quelques semaines, nous soulevions ici même la problématique de l’obtention frauduleuse, par certains, du permis de conduire, causant des dégâts irréparables. En effet, on compte par centaines le nombre annuel de personnes mortes ou gravement blessées suite à un accident. Certes, un accident est par définition un événement fortuit, donc imprévu. Ainsi, de nombreuses réalités de la circulation peuvent-elles être à l’origine d’un accident. Mais face à la négligence et à l’impatience de certains usagers de la route, estimant que la maîtrise du code de la route par le suivi d’une formation est un exercice de trop, on s’inquiète pour nos vies. Pourtant, les auto-écoles ne manquent guère dans nos capitales.

L’Organisation mondiale de la santé ne cesse de tirer la sonnette d’alarme sur ce fléau. Les pertes en vies humaines sont légions. Il est temps que cessent le laxisme et la collaboration de ceux qui délivrent de faux permis de conduire, faisant de ces conducteurs de véritables machines de mort pour eux-mêmes et pour leurs concitoyens.

Après les pleurs, la joie. Nous sommes allés à la rencontre de l’artiste Athom’S Mbuma. Après un album et un concert  à succès, sa nomination à la tête du Gaél, cher au défunt frère Alain Moloto, n’est plus qu’un secret de polichinelle. Dans un entretien, il évoque aimablement sa vision sur ses nouvelles responsabilités, et sa maturité rappelle qu’il y a une vie pour le Gaél après Moloto…

 

 

 

Meryll Mezath