Affaires sociales : renforcer la protection des vulnérables à travers le projet Lisungi

Lors de la session ordinaire du Comité d’orientation stratégique du projet Lisungi, tenue le 31 janvier à Brazzaville, la ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire, Marie-Cécile Irène Mboukou-Kimbatsa, a appelé les membres dudit comité à consolider, cette année, la protection sociale des vulnérables.

« Les systèmes des filets sociaux mis en œuvre à travers le projet Lisungi sont des garde-fous qui permettent à notre société de protéger les plus vulnérables d’entre nous et de garantir à chacun l’accès aux moyens de substance nécessaire », a rappelé Marie-Cécile Irène Mboukou-Kimbatsa.

Selon la ministre qui est, par ailleurs, présidente du Comité d’orientation stratégique du projet Lisungi, l’échantillon de quelques ménages qui témoignent de l’amélioration de leurs conditions de vie à travers les allocations de ce projet constituent un motif de satisfaction pour tous les acteurs qui travaillent à l’atteitente de ces objectifs.

Rappelons que le projet Lisungi vise, entre autres, à développer le capital humain en permettant de relever le niveau de vie des personnes vulnérables en leur octroyant les moyens pour s’assurer une autonomie financière.

Le mécanisme de gestion des plaintes qui fait partie des avancées enregistrées l’année passée va davantage se développer cette année car le numéro vert 15-16 qui avait été mis en place sera opérationnel dans les prochains jours, a indiqué la ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire. Ce numéro, selon elle, va révolutionner la gestion des plaintes en rapprochant la population bénéficiaire du projet des parties prenantes pour résoudre les problèmes auxquels elle est confrontée.