Assainissement du microscome politique : Briand Aurélien Miamissa dénonce la loi sur les partis
La décision du gouvernement est, selon lui, fantaisiste et consiste en réalité à mettre de côté les partis qui ont un discours opposé à celui du pouvoir. Il a soutenu que le ministère de l'Intérieur n'a voulu garder que les partis qui font la volonté du pouvoir pour qu’il n’y ait pas demain de vrais débats lorsqu’il s’agira des questions sur l’avenir du pays. Le président de la JUR a fait observer que des partis qui se sont érigés en véritables clubs d’amis ou de familles ont été reconnus, au détriment des plus anciens qui ont des assises dans le pays. « Cette dérive est un grand danger pour le pays », a-t-il signifié. Par contre, il déclare être de ceux qui pensent qu’il ne doit pas y avoir de pléthore de partis dans le pays. « Je suis de ceux qui pensent qu’il faut aller vers les grands ensembles mais sur des bases idéologiques, des principes, des pratiques structurales », a-t-il conclu.
Jean Jacques Koubemba Légendes et crédits photo :Briand Aurélien Miamissa |