Cinéma : des formations au profit des professionnels du secteur des pays ACP
Les séances d’encadrement s’articuleront principalement sur la thématique de montage du projet de coproduction (de film, de fiction ou série TV, de documentaire ou web série) portant sur plusieurs sujets tels que : le rôle des acteurs, les questions à se poser au moment de démarrer, l’élaboration d’un contrat de coproduction, la construction d’une stratégie de financement, la négociation des droits, les risques et les bonnes pratiques, etc. A en croire l’OIF, les formations conçues par LAFAAAC intègrent le savoir-faire d’un universitaire spécialisé dans l’économie du cinéma africain, Claude Forest, et l’expérience de producteurs et réalisateurs aguerris du continent africain et d’ailleurs comme Ama Ampadu du Ghana, Apolline Traoré et Michel K. Zongo du Burkina Faso, Rachèle Magloire d’Haïti, Gnama Baddy Dega de la Côte d’Ivoire/Guadeloupe et Sébastien Onomo de la France/Cameroun. Notons que la fermeture des salles de cinéma et de spectacle, l’arrêt des séances de tournages des films et séries, l’annulation des festivals et rencontres de cinématographie… depuis le début de la pandémie de Covid-19 dans le monde avaient plongé les professionnels de ce secteur dans un véritable désarroi. Dans la plupart des pays ACP où ces mesures sont encore en vigueur, comme le Congo, les opportunités de formation s’avèrent indispensables pour continuer à se former et à se perfectionner pour des projets à venir. Merveille Atipo Légendes et crédits photo :Un plateau de tournage cinématographique/DR |