Éducation : Laurentine Ngala plaide en faveur de la scolarité des enfants de la rue
Tous les enfants admis dans son centre, a-t-elle dit, ont un point en commun. Ils ont soit perdu leurs parents, soit été victimes de maltraitance de la part de leurs tuteurs. Par ailleurs, elle a affirmé travailler avec une vingtaine de jeunes dames qui sillonnent toute la ville. « Elles ont pour rôle de récolter des fonds auprès de généreux citoyens en vue de faire face aux charges de l’orphelinat », a-t-elle dit. C’est également à l’occasion de ces multiples balades que les bénévoles de l’association rencontrent les enfants de la rue. En face de ces jeunes vulnérables, les bénévoles parlent des avantages de rejoindre l’orphelinat Le bon berger. La quarantaine révolue et mère de deux enfants, Oko Ngala envisage, dans un futur proche, acquérir un terrain. Il y sera construit un complexe de deux bâtiments. Le premier pour le logement des jeunes garçons et le second pour les jeunes filles. Christ Louzany Légendes et crédits photo : Laurentine Ngala Oko |