GrowCongo! aux Pays-Bas : des engagements pris par les participants
Durant toute une journée, sous le haut patronage du Premier ministre, chef du gouvernement de la République du Congo, Clément Mouamba, cette rencontre a mis le développement du secteur agricole du Congo-Brazzaville au centre des discussions. Une réelle opportunité offerte aux investisseurs publics et privés, ainsi qu’aux acteurs agropastoraux et halieutiques du monde entier, plusieurs opportunités d’affaires à saisir afin de construire des partenariats gagnant-gagnant. Notre rédaction reprend les promesses obtenues. Chaîne de valeur du manioc Trois entreprises se sont engagées à développer la transformation mécanisée. La BAD a mis en place un mécanisme financier pour soutenir les investisseurs dans la mécanisation de la production et de la transformation. La FAO organisera, quant à elle, un suivi. Chaîne de valeur Cacao L'accent est mis sur la relance du secteur du cacao au Congo en se concentrant sur les plantations industrielles à grande échelle dans les régions de Sangha au Congo. L'Agence française de développement a déjà engagé cinq millions d'euros sur les vingt millions d'euros nécessaires pour relancer le secteur du cacao au Congo Fruits et légumes Le secteur des fruits et légumes est un secteur qui offre des emplois et des opportunités commerciales. Les petits exploitants sont importants (nous ne devons pas les laisser de côté) lorsqu'il s'agit de faire de l'agriculture une entreprise à la fois pour le marché local et pour l'exportation. Dans ce domaine, l'organisation des agriculteurs et des intrants de haute qualité et des connaissances sont essentiels. Enfin, une production horticole locale plus importante peut contribuer de manière considérable à la sécurité alimentaire et nutritionnelle du pays. Actuellement, l'infrastructure en place est faible. Tout au long de la chaîne par le biais des PPP, cela peut être amélioré. Marie Alfred Ngoma Légendes et crédits photo :Photo : GrowCongo 2020 aux Pays-Bas |