Hado Marius Ouoba : « On aimerait avoir une telle enceinte chez nous et dans chaque capitale africaine »
Hado Marius Ouoba : Il y a une certaine excitation, puisque nous, athlètes, nous préparons cet évènement depuis plusieurs mois. C’est un grand moment de célébration, avec toutes ces délégations. LDB : Que pensez-vous des infrastructures édifiées par le Congo pour ces Jeux du Cinquantenaire ? HMO: D’abord beaucoup de fierté pour le sport africain. Surtout ce grand stade, qui est vraiment à classer parmi les plus beaux d’Afrique. Ensuite, il y a un peu d’envie : on aimerait avoir une telle enceinte chez nous et dans chaque capitale africaine… LDB : Au niveau sportif, vous êtes l’entraîneur de l’équipe de pétanque du Burkina Faso. Où et quand se déroulera votre compétition ? HMO : Nous allons compétir ici, au Complexe de la Concorde : le boulodrome est placé à côté des terrains de beach-volley et de basket. Nous débuterons dès demain (ndlr : samedi) par le tir de précision. LDB : Quel est votre objectif ? HMO : Nous avons une revanche à prendre, puisque nous avons terminé 3e du dernier championnat d’Afrique au Tchad. On retrouvera les mêmes adversaires, donc on veut faire mieux. LDB : Quelle est l’ambiance au village olympique ? HMO : L’ambiance est très bonne entre les délégations. Ce sont mes premiers Jeux et j’adore ça.
Camille Delourme Légendes et crédits photo :Le Burkinabé Hado Marius Ouoba, ici avec ses boulistes, est admiratif des infrastructures des Jeux africains (crédits photo adiac) |