Intégration : la Cémac connaît un « ré-endettement excessif »Ils ne sont pas « définis de manière à ce que leur suivi permette d’apprécier la viabilité à long terme des finances publiques et leur impact sur la situation conjoncturelle comme sur le potentiel de croissance et de convergence réelle des économies dans la longue durée » et « peinent à prendre en compte l’hétérogénéité des pays de la Cemac », ajoute le rapport, qui appelle à la réforme. La Ferdi propose de ramener le plafond du stock de la dette nominale de 70% du PIB à 60%, et de combiner le critère de plafond à celui « d’accroissement ».
Noël Ndong |