Médias : renforcer l’implication des journalistes face à la crise environnementale
Le thème de cette célébration a, par ailleurs, justifié la présence de la ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault. « L’urgence environnementale doit devenir un enjeu majeur pour les médias congolais », a-t-elle souligné. La ministre a, en outre, précisé que les professionnels des médias, dans l’exercice de leurs fonctions, ont un grand rôle à jouer dans la protection de l’environnement et la promotion du développement en suscitant un engagement individuel et collectif à la cause de l’environnement. Des dangers, il y en a
Dans le même sens, les chiffres évoqués par la représentante de l’Unesco au Congo, Fatoumata Marega, indiquent que dans le monde plus de 70% des journalistes qui traitent des questions environnementales sont victimes des menaces alors qu’ils sont en première ligne de notre combat collectif pour la santé de notre planète. Donnant lecture du discours de la directrice générale de l’Unesco, Audrey Azoulay, Fatoumata Marega a salué les actions du Congo en faveur de la conservation de la biodiversité et la gestion durable des ressources naturelles. Des encouragements A l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse, une dizaine de journalistes évoluant dans différents médias congolais ont reçu des certificats de mérite pour leur contribution au traitement des questions environnementales. Rominique Makaya Légendes et crédits photo :Célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse |