Mois de mars : les femmes athlètes réclament plus de places dans les instances sportives
Concernant l’inclusion au sein des fédérations, le ratio des femmes est faible. Seule la fédération congolaise de nzango est dirigée par une dame, sur la trentaine de fédérations que compte le pays. En dépit des contraintes, le sport est un puissant vecteur d’émancipation et d’inclusion sociale, a souligné Liliane Loko, ancienne championne de judo. « Peu de femmes occupent des postes de responsabilité dans les fédérations sportives. En plus de cela, nous constatons que les infrastructures sportives sont moins adaptées aux besoins des femmes, la médiatisation du sport féminin est insuffisante, limitant la visibilité des performances féminines. Les soutiens financiers et les sponsors privilégient souvent le sport masculin… », a indiqué cette ancienne gloire du judo. Cette rencontre a également permis aux participantes de s’informer sur d’autres thématiques liées à la pratique du sport. Elles ont été sensibilisées à l’importance de la nutrition pour le sport féminin et le bien-être que procure le sport, notamment chez la femme. Fiacre Kombo Légendes et crédits photo :La photo de famille des femmes athlètes/Adiac |