Social : Bonzenga, entre charme, entrepreneuriat et téléréalité
Quand bien même il s’agit d’œuvrer pour désigner le meilleur mannequin photo, Bonzenga se veut donc à l’opposé du « Sois belle et tais-toi ». Pour s’en convaincre, les candidats admis à la seconde phase du concours bénéficieront également d’une formation de quatre jours en pisciculture avec Ruphin Kinanga, entrepreneur social disposant d’une ferme et de plantations à Nkanou. L’objectif non voilé étant donc d’éveiller en parallèle ces mannequins photos en herbe à l’entrepreneuriat. « J’essaie d’apporter ma pierre à l’édifice pour concrétiser le rêve notamment de voir les femmes congolaises entreprendre, c’est mon challenge personnel et je m’y consacre chaque jour », précise Liesbeth Mabiala qui dirige également la Web Tv Cultures.cg sur le média social YouTube. Posing, pitchs et challenges, dont un purement artistique, seront donc au rendez-vous de cette deuxième édition de Bonzenga, agrémentée de deux semaines d’exposition vente pour faire valoir le Made in Congo, et propice à mettre en lumière les talents cachés du 242 lors de ce concours.
Philippe Édouard Légendes et crédits photo :Concours Bonzenga |