Théâtre : «Portrait désir», la nouvelle création de Dieudonné Niangouna
Quatre comédiennes, deux comédiens et deux musiciens-acteurs projettent cette galerie d’ombres puissantes, traversant la mythologie grecque ou la traite des esclaves pour venir s’interpeller dans un club de jazz ! Nulle nostalgie ici, plutôt l’interrogation d’un avenir possible. Une fable musicale polyphonique foisonnante portée par la langue opulente, imagée, tantôt drôle, tantôt exaltée de Dieudonné Niangouna. « Ma grand-mère racontait des histoires à vous tenir un éléphant éveillé pendant huit jours », écrit Dieudonné Niangouna en présentation de cette nouvelle création théâtrale. Marie Alfred Ngoma Légendes et crédits photo :« Portrait désir », la nouvelle fresque théâtrale du metteur en scène Dieudonné Niangouna / Christophe Raynaud de Lage
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Pour une durée estimée à 4h, les spectateurs de la région parisienne découvrent une fresque fantasque centrée sur de multiples personnages féminins, ultra-contemporains ou historiques, où se combinent farces et tragédies. Les esprits côtoient les vivants, comme dans les contes nocturnes de la grand-mère de l’auteur, figure fondatrice à laquelle est dédiée cette traversée.