Art-Culture-Média
Le nouveau single du leader de l’orchestre Super Kolo Mboka invite les citoyens à vivre en harmonie à travers le message de paix qu'il véhicule, tout en sublimant l’histoire du Congo, particulièrement celle du fleuve qui porte le même nom.
"Tobina" en lingala ou dansons en français, signifie let’s dance en anglais et baila en espagnol. Le single a été mis en ligne le 7 juin. En moins d’une semaine, ce nouveau morceau a atteint plus de onze mille six cent trente vues sur Youtube et est disponible sur toutes les plates-formes de téléchargement légales.
Comme dans son habitude, Maurin Jonathan Mobassi, dit Djoson Philosophe, conscientise la masse dans cette joaillerie musicale à travers des scénarios éducatifs. En effet, "Tobina" valorise la méritocratie. « Beaucoup de gens circulent dans la ville sans avoir leurs documents sur eux », lance-t-il.
« Certains ... Lire la suite
Evoluant dans un univers musical très éclectique, l'artiste musicien congolais a eu l'occasion de collaborer avec de nombreux autres artistes africains et européens. Des collaborations qui ne lui ont toujours pas permis de se consacrer à son propre projet musical. C’est à ce titre qu’en début de ce mois, il a présenté à la presse nationale et internationale un calendrier de ses diverses activités qui aboutiront, en décembre, à la sortie de son premier album solo dénommé " Dans mon élément".
Le premier album solo de Syk'n sera l’aboutissement de plusieurs années de travail acharné et d’abnégation, au cours desquelles il a acquis une forte expérience. A travers cette oeuvre, il fera découvrir une autre facette de son talent. Rappeur dans l'âme et chanteur dans la peau, Syk’n varie les styles de musique avec aisance.
Pour la réalisation de son ... Lire la suite
Même en période de crise économique mondiale et de réduction des budgets nationaux, de nombreux pays s’accrochent à leurs forces militaires. Les dépenses de défense, dans la plupart des États, sont considérées comme une nécessité inévitable pour protéger leurs citoyens.
Mais ce n’est pas le cas de vingt-trois pays dans le monde qui n’ont pas d’armée. La plupart sont de petites nations dépourvues de capacités militaires, parmi lesquelles l’Andorre, le Costa Rica, le Liechtenstein, le Vatican, le Samoa, Nauru, Kiribati et d’autres États insulaires.
En outre, six pays sans armée permanente maintiennent des forces paramilitaires limitées pour se protéger. Ceux-ci sont l’Islande, Monaco, Haïti, Vanuatu, le Panama et l’île Maurice.
De nombreux pays ont été formés sans armée lors de leur accession à l’indépendance, y compris les États fédérés ... Lire la suite
Plus d’une vingtaine d’artistes, groupes nationaux et étrangers vont prendre part à l'événement international qui va se dérouler jusqu'au 16 juin. De nombreuses activités sont au programme, notamment des concerts de musique, théâtre, stand up, ateliers, conférence, exposition et autres.
Trois sites abriteront le festival, à savoir l’Espace du trentenaire, où aura lieu la cérémonie d’ouverture, le Comptoir et la Brasserie de la mer qui recevront des artistes et groupes comme Nataal (Congo-Sénégal), Patrick Nganga (Congo/Côte d’Ivoire), NKJ ( Congo/ Rwanda), Jolice (France), Lelo (Congo/Tunisie), Maxel Muya et Joslyn Balou (RDC), Patrizia Di malta (Italie), Tris (Gabon), Racines, Spirita Manda, Varon De Komodo, Biz Ice, Titus Kosmas, New live, Théatre à la carte, Brice Mizingou (Congo Brazzaville).
Outre les concerts, les spectacles de théâtre et de stand ... Lire la suite
L’élection aura lieu à Pointe-Noire, en septembre, pour la deuxième année consécutive depuis la création du concours. Les inscriptions ont démarré le 1er juin et vont s’étendre jusqu’à la fin du mois. Le casting de présélection interviendra quelques jours après.
L’élection Miss vacances récompense la beauté physique et intellectuelle des jeunes filles et élèves du pays. Le prochain sacre de la nouvelle reine de beauté aura lieu dans quelques mois, au cours d’une soirée exceptionnelle, en présence de quelques autorités locales.
Des candidates âgées de 18 à 24 ans, une trentaine, s’affronteront pour devenir miss vacances 2019, sous les yeux d’un jury composé de professionnels de la mode et de la beauté. Les participantes effectueront plusieurs passages sur scène dans diverses tenues. Celle qui retiendra l'attention du jury se verra octroyer ... Lire la suite
A l’hôtel GHS de la coupole
Master class inter entreprise
Date : vendredi 14 juin
Heure : 15h – 20h 30
Réservation : 06 928 28 67 / 05 693 18 86
Au Mikhaels hôtel
Première édition « Meeting night » : la communication numérique et digitale des TPE
Date : vendredi 14 juin
Heure : 18h 30
Ticket : 20 000 FCFA
A l’Institut français du Congo
Les rendez-vous de la médiathèque
Date : samedi 15 juin
Samedi des petits lecteurs
Heure : 10h 00
Samedi tout est permis à la médiathèque
Heure : à partir de 12h 00
L’heure du conte
Heure : 14h 00
Rencontre de scrabble
Heure : 16h 00
Entrée libre
Festival de musique : première édition Jazz Kif Brazza (projection cinéma + concerts)
Date : samedi 15 juin
Heure : 17h 00
Entrée libre
Festival de musique : première édition Jazz Kif Brazza (concerts)
Date : dimanche 16 juin
Heure : 17h 00
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Chaque Printemps à Genève, Afrodyssée réunit le meilleur des tendances culturelles et de la créativité africaine. Grâce à ses créations hors-normes, la styliste et chanteuse congolaise prendra part à cette grand-messe qui se tiendra du 14 au 15 juin, au 52 rue de Carouge, à la Maison Pitoëff - Salle Communale de Plainpalais (Genève).
Fille de l'ancien couple des musiciens Charles Tchicou et Pembey Shero, Queen Tawa est beaucoup attachée à la mode. C’est à bas âge qu’elle s’y intéresse mais c’est finalement en 2012 qu’elle se professionnalise. Elle a déjà fait plusieurs scènes, tant au plan national qu’international.
De son vrai nom Tchianna Tchicou-Pembey, Queen Tawa est une accro de la mode africaine. La reine de l’afro-futuriste présente ses défilés comme une exposition, parce qu’elle considère ses vêtements comme des œuvres d’art. Sa ... Lire la suite
L’œuvre de cent six pages de la journaliste, parue aux éditions Pangolin, est sur le marché du livre. Elle a fait l’objet d'une présentation publique, la semaine dernière, par le Pr Malembe Tumandiok, à l’Institut facultaire des sciences de l’information et de la communication, à Kinshasa.
Le livre fait la restitution des nombreuses descentes de l’auteure au quartier Pakadjuma, réputé milieu de la prostitution à Kinshasa. Ses habitants veulent être considérés comme des kinois puisqu’ils sont de Kinshasa et non être rejetés avec ce cliché de personnes immorales. « Il n’y a pas que les prostitutions à Pakadjuma, il y a aussi des étudiants, des femmes entrepreneures, bref les personnes de bonne moralité qui y vivent », a fait savoir Ange Kasongo.
En effet, le récit "Les femmes de Pakadjuma’’ raconte l’histoire de la jeune Ophélie qui ... Lire la suite
La création de la jeune béninoise, Maureen Ayeti, arrive en dix-septième position du classement publié la semaine dernière par le magazine Afrique business, des marques qui retiennent plus l'attention, devant d’autres telles que la compagnie Ethiopian Airlin et Sivop.
Toute aussi surprise et enchantée de la nouvelle, Maureen Ayeti a partagé sur son compte Instagram un message inspirant. « Ne vous laissez pas influencer par une entreprise ou une personne plus grosse, plus puissante ou plus riche que la vôtre. On vous achètera de la manière dont vous vous vendez. Pas d’intérêt commercial, pas d’actions », a-t-elle écrit.
Aussi ajoute-t-elle: « Aujourd’hui, mon entreprise Nanawax se retrouve dans la liste des compagnies les plus admirées d’Afrique aux côtés des grands groupes et multinationaux africains, et je vous en remercie car le travail acharné ... Lire la suite
Adjointe administrative au Quai d'Orsay, la Franco-Congolaise est passionnée des belles lettres. Après son premier roman « L’envol », elle vient de publier un deuxième, "Rendez-moi mes amours", toujours à L’Harmattan. Des ouvrages dont le produit des ventes sera consacré à la lutte contre le cancer. Elle en parle avec beaucoup d’enthousiasme. Entretien.
Les Dépêches du Bassin du Congo (L.D.B.C.) : Valérie Sana, en l’espace d’une année, vous venez de publier un deuxième roman, n’est-ce pas l’éclosion d’une vocation ?
Valérie Sana (V.S.) : Peut-être... Je ne sais pas. Dans tous les cas, mon envie est là d'encourager les parents d'enfants malades à l'évasion (par n'importe quel moyen de distraction ou de création que ce soit), tout en restant auprès d'eux. Tenir bon, c'est possible. Moi j'ai trouvé l'écriture. Elle me vient lorsque je suis au ... Lire la suite