Affaires : des investisseurs étrangers s’intéressent au marché congolais

Accompagné des investisseurs roumains dont l’ancien ministre des Finances, ex-président du groupe Ecofin, H.E Eugen Teodorovici, Thierry Sengier a rappelé que Refai-Ngo est une fondation poursuivant des objectifs humanitaires visant à procurer à chaque individu les moyens de son épanouissement personnel au travers du travail. « Pour accomplir cette mission, nous sommes accompagnés des partenaires stratégiques qui développent des activités économiques importantes, des grands acteurs économiques. Et nous avons ciblé l’Afrique centrale, le Congo en particulier comme étant un terroir propice pour développer ces activités étant donné que les besoins sont réellement présents », a expliqué le vice-président de la fondation Refai à l’issue de la séance de travail.

Selon lui, les interventions de ces investisseurs couvrent tous les secteurs d’activités dont l’industrie, l’agriculture, les produits pharmaceutiques, les infrastructures et l’énergie. « En fait, nous couvrons tous les secteurs d’activités et l’avantage c’est que nos partenaires couvrent aussi les mêmes secteurs, donc nous pouvons proposer, présenter une solution individuelle à chaque problématique. C’est un très bon contact avec monsieur le ministre, un échange fructueux, je pense qu’il sera profitable pour les deux parties », a poursuivi Thierry Sengier.

Le ministre Fylla, de son côté, a présenté à ses hôtes les opportunités économiques que regorge le Congo, surtout la mise en œuvre de la zone industrielle de Maloukou, située à quelques kilomètres de Brazzaville. Une opportunité que pourrait saisir la délégation roumaine.  « L’ex-président du groupe Ecofin est une personnalité qui maîtrise parfaitement tous les arcanes du financement du développement de son économie. Il a à cœur de pouvoir développer des activités au Congo, notamment dans les secteurs sensibles que sont l’agroalimentaire, l’énergie. Ce sont des secteurs qui couvrent l’ensemble des besoins primaires de sorte à permettre à la population de se développer personnellement et d’aboutir à une forme d’épanouissement », a conclu Thierry Sengier.