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Mardi 7 Décembre 2021 - 12:26

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Même si bien des obstacles restent dressés sur la route vers le progrès économique et social qui figure au cœur du programme présidentiel de ce nouveau quinquennat, l’image que projettent du Congo les travaux entrepris pour assainir les finances publiques, lutter contre la corruption et les antivaleurs, former les jeunes générations, achever la construction des grandes infrastructures sur toute l’étendue du territoire national, protéger la population contre la pandémie du coronavirus, cette image est indiscutablement très positive.

Certes, elle ne garantit pas à chacune et à chacun de nous que tout ira mieux à brève échéance dans le meilleur des mondes, mais elle attire vers notre pays, notre nation, le regard des puissances extérieures et des investisseurs étrangers qui placent à juste titre l’Afrique au cœur de leur stratégie. Ce qui nous donne de sérieux atouts pour préparer un avenir dont les nouvelles générations tireront à coup sûr le plus grand profit individuel et collectif.

Oui, l’image que nous projetons de nous aujourd’hui sur la scène internationale est positive, très positive. Situé au cœur de l’immense Bassin du Congo qui s’impose comme l’un des principaux acteurs mondiaux de la lutte contre le dérèglement climatique, doté d’une population aussi jeune qu’ambitieuse et de ressources naturelles aussi riches que diverses, perçu à juste titre comme l’un des pays les mieux sécurisés de l’Afrique, gouverné par un homme, notre président, qui s’implique fortement dans la prévention et la gestion des crises dont souffre toujours le continent, le Congo est devenu, ou plutôt redevenu un acteur incontournable de la scène africaine.

Dans ce contexte global, il revient aujourd’hui à chacun d’entre nous de profiter de l’actif collectif qui a été construit tout au long des deux dernières décennies après que notre nation s’est enferrée dans des conflits internes destructeurs. Autrement dit, de nous investir plus et mieux dans le développement des activités économiques là où nous vivons, dans la mise en valeur de notre sol et de notre sous-sol, dans le développement des échanges avec nos frères et nos voisins de l’Afrique centrale, dans l’affirmation de notre goût pour l’art et la culture. Bref dans la construction  d’une société plus dynamique, plus juste, plus ouverte sur le monde extérieur.

Les Dépêches de Brazzaville

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