Réchauffement climatique: le Dr Maurice Itous-Ibara écarte la responsabilité de l'homme

Mardi 22 Novembre 2022 - 13:17

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Le chercheur congolais Maurice Itous-Ibara, lors de la troisième édition de la biennale de la science et technique de la culture des nouvelles énergies renouvelables du sol et sous-sol de la planète, organisée par la Société congolaise des mines (Socomi), filiale de l’Académie des sciences et des arts du Congo (Asac) qu'il dirige, a indiqué, le 19 novembre à Brazzaville, que l'homme n'est pas à incriminer dans le réchauffement climatique..

La troisième biennale s’est tenue sur le thème « Culture des nouvelles énergies renouvelables, solution au réchauffement climatique mondial à température zéro, zéro degré Celsius. Sans cesser de polluer l’environnement, cas de l’Allemagne ». Dans son mot liminaire, le Pr Kadima Mukala Njuzi a énoncé l’essentiel de l’activité scientifique et de la pensée du Dr Maurice Itous-Ibara.

Pour lui, les travaux de ce docteur, qui ont comme fondement le « magnétisme vital », s’arcboutent à une question fondamentale : comment régler le réchauffement climatique à température zéro, zéro degré Celsius ? La réponse à cette question innerve toute la production du Dr Itous-Ibara, inscrite au frontispice de son dernier livre dont le titre à lui seul est tout un programme d’études et de recherche, une synthèse des paradigmes qui articulent sa pensée et une vision. « Culture de nouvelles énergies renouvelables », a-t-il dit. Pour parvenir à ramener le réchauffement climatique à zéro degré, zéro Celsius, le Dr Itous-Ibara préconise la culture des nouvelles énergies renouvelables, a précisé le Pr Kadima Mukala Njuzi.

Intervenant par la suite, le Dr Maurice Itous-Ibara a fait savoir que c’est une erreur grave que d’incriminer l’homme dans le réchauffement climatique. Certes, dans ses activités il pollue l’environnement depuis la couche d’ozone, mais il n’est pas responsable du dérèglement climatique. « Les énergies préexistantes par le soleil (184 337/349 soleil) ne sont qu’à 17%. Quand nous parlons des tourbières, de la sécrétion du carbone, tout cela n’est qu’à 17 %. Les 83% c’est ce que l’homme doit compléter, ce qui fait l’équivalent de 900 millions de soleil. Nous avons donc 900 millions de gisements à cultiver pour que nous ayons 100% de règlement climatique à température zéro, zéro degré Celsius, sous-entendu 1 ;084 337 349 soleil dans l’univers », a-t-il argumenté.

Parlant du cas de l’Allemagne, le Dr Maurice Itous-Ibara a signifié qu’il n’est pas un pays modèle, mais plutôt fait partie des pays qui ont des terres Actol donc des terres renouvelables. Parce qu’il y a deux sortes de terres, des terres polluantes et des terres non polluantes où l’on cultive ces énergies. « Demain ce sera le tour des Etats-Unis d’Amérique, puis de la France, … la liste est ouverte pour tous ces pays, peut-être qu’il y en aura d’autres au-delà de quarante, mais nous travaillons par méthode. Comme nous avons déjà le contact avec le gouvernement allemand, nous aurons d’autres contacts avec d’autres pays qui pourront nous inviter à cultiver, renouveler la terre afin d’aller vers une nouvelle civilisation dite civilisation des énergies renouvelables », a expliqué le Dr Maurice Itous-Ibara.

Les quarante pays ayant des terres Actol (fertiles) pour la culture des nouvelles énergies renouvelable et qui incarnent toute la planète terre pour le règlement climatique à température zéro, zéro degré Celsius, sont le Congo, le Nigeria, la Tunisie, le Malawi, le Japon, l'Allemagne, les Etats-Unis d’Amérique, le Swaziland, la Libye, le Rwanda, le Gabon, République démocratique du Congo, l'Angola, la Guinée équatoriale, la Thaïlande, Hong-Kong, la Grande-Bretagne, la France, le Canada, le Brésil, l'Italie, la Turquie, le Venezuela, le Cameroun, le Sénégal, l'Afrique du Sud, le Zimbabwe, le Mozambique, la Namibie, la Guinée Conakry, le Liberia, la Gambie, la Centrafrique, le Kenya, l'Ouganda, le Botswana, la Somalie, la Sierra-Leone,  le Lesotho et la Côte d’Ivoire, représentée à cette troisième biennale par le premier secrétaire de son ambassade en République du Congo.

Notons que cette étude, faite par une équipe de scientifiques autour du Dr Maurice Itous-Ibara, se trouve dans le tome 1 du nouvel ouvrage de ce chercheur en physique chimie à magnons et biologie magnétique, science de la vie ou du vivant. « Nous sommes en phase de sensibilisation à l’endroit de ceux qui ont la décision. Il est question que nos gouvernements aient une intelligence renouvelée pour que nous allions au règlement climatique qui est aujourd’hui un défi central pour l’humanité. Or, pour régler ce défi, nous devons aller aux actes. Ici nous sommes dans les actes, parce que nous avons inventé les nouvelles énergies renouvelables. Nous avons espoir que nos dirigeants vont comprendre pour que nous ayons le financement facilement », a conclu le Dr Itous-Ibara.

Fondateur de l’Asac, Maurice Itous-Ibara est docteur en marketing-management en sciences de gestion axées sur l’environnement. Il est aussi colonel dans la Force publique congolaise et enseignant vacataire à l’Université Marien-Ngouabi.

  1.  
Guillaume Ondze

Légendes et crédits photo : 

1- La couverture du livre qui a fait l'objet de l'étude /DR 2- Le carburant non polluant /DR 3- L'uranium non polluant /DR

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