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De vive voix

Samedi 4 Septembre 2021 - 17:30

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La mission de travail du Premier ministre congolais, en France, a pris fin la semaine dernière. Pendant plusieurs jours, Anatole Collinet Makosso et les ministres qui l’accompagnaient ont mené un plaidoyer en faveur de la relance de l’économie nationale plombée par tant de défis. Partenaire historique du Congo, la France a un rôle à jouer dans le rétablissement des grands équilibres en appuyant des facilitations en direction d’autres bailleurs de fonds parmi lesquels figure le Fonds monétaire international.

Au regard de ce que l’on a perçu, il est apparu que sur la table des échanges entre les deux parties, la relance économique du Congo passe aussi par une mise au point générale portant sur les questions de gouvernance publique. Sans vouloir enfreindre aux notions bien connues des souverainetés nationales dont tous les pays sont jaloux, en tant que partenaire de longue date, Paris cherche depuis longtemps à s’en faire une opinion.

Ces questions concernent, entre autres, la dette extérieure du Congo jugée importante qui incite les dirigeants à des réformes, les changements politiques consécutifs au référendum constitutionnel de 2015 qui a permis le renouvellement du mandat du président de la République, puis aussi les procès publics pour lesquels certains acteurs politiques jugés coupables de faits prévus par la loi ont été condamnés à des lourdes peines de prison.

Pour parler en termes de dossier, mettons que celui du Congo porté par ses officiels sur la place de Paris tienne pour l’essentiel à ces différentes affaires et qu’elles soient la cause de la crispation observée entre Paris et Brazzaville ces dernières années. Le mérite du séjour parisien de la délégation gouvernementale congolaise aura été de les exposer de vive voix et donc d’en débattre en toute responsabilité.

Si l’on devait assembler tous les commentaires possibles sur les échanges établis durant la mission gouvernementale congolaise, il faudrait s’attacher à ce qui paraît fondamental. A savoir que le dialogue est relancé. La France et le Congo ont, en effet, de nombreux chantiers communs qui ne pourront être menés avec succès que si les deux pays, leurs institutions et leurs dirigeants s'apprécient mutuellement.  

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