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Défi

Jeudi 7 Août 2014 - 20:20

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Parmi les défis qui nous sont lancés figure en bonne place celui qui consiste à faire du Congo la plaque tournante de l’investissement étranger en Afrique centrale. Comme l’a, en effet, démontré le Sommet États-Unis/Afrique qui vient de s’achever à Washington, le regard des décideurs politiques et économiques de ce que l’on appelait, il n’y a pas si longtemps, « le nouveau monde » se focalise lentement mais sûrement sur notre continent. Et l’on peut être certain qu’il en résultera très rapidement un afflux de capitaux et de compétences qui accélèrera fortement la marche de celui-ci vers le développement durable.

Notre pays ayant su régler ses problèmes intérieurs, sans l’aide de personne, et étant redevenu du même coup un interlocuteur fiable tant pour les gouvernements que pour les investisseurs étrangers, il lui reste à prouver de façon concrète qu’il est bien une terre d’accueil à partir de laquelle tout est désormais possible. Or, s’il est vrai que la modernisation de ses grandes infrastructures – routes, ports, aéroports, lignes électriques et autres – a été menée tambour battant dans les dernières années, il l’est tout autant que bien des progrès restent à accomplir dans différents domaines si l’on veut le rendre incontournable.

Le monde de la politique et des affaires ne se nourrissant ni de rêves ni d’illusions, nous devons faire en sorte que le Congo devienne tout naturellement le pays à partir duquel l’on peut développer ses activités dans les meilleures conditions. Ceci suppose que soient réunies de nombreuses conditions : des procédures d’accès simples et rapides, un environnement juridique et financier adapté à la vie économique moderne, des moyens de transport réguliers et rapides vers les pays proches, des organes d’information et de communication électronique fiables, une infrastructure hôtelière garantissant sécurité et confort à ceux qui l’utilisent, l’aménagement de circuits touristiques séduisants, la multiplication de lieux permettant de découvrir l’infinie diversité du monde artistique etc., etc.

Le Congo ayant relevé des défis bien plus difficiles que ceux-là, rien de ce qui est énoncé ici n’est hors de portée. Il faut simplement que du haut en bas de l’édifice national les initiatives publiques et privées s’accordent, se conjuguent, se coordonnent. Rien d’impossible en vérité !

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