Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Emmanuel Mbengué
DiscoursMercredi 28 Décembre 2022 - 9:06 Les partis politiques et les organisations de la société civile animent la vie politique et sociale du pays à travers les prises de parole de leurs dirigeants, à l’occasion d’événements majeurs. Pour espérer être compris de ceux qui les écoutent, ces dirigeants seraient mieux inspirés de tenir compte du cadre légal tel que défini par la loi fondamentale et leurs propres textes fondamentaux. Il se trouve que souvent les politiques et les syndicalistes s’installent dans une confusion de rôles qui est de nature à créer de multiples interprétations dans l’opinion. Dans le pire des cas, les propos interprétés comme portant atteinte aux institutions exposent leurs auteurs à la rigueur de la loi. Une chose est évidemment que le droit à la parole est garanti par la Constitution, une autre est que celles et ceux qui en jouissent se gardent d’alimenter la controverse inutile par un discours violent ou haineux. Acteurs de premier plan dans l’édification de la démocratie, les leaders politiques, tout comme les activistes des droits humains ont un rôle important à jouer dans la consolidation de la culture de paix. Les jeunes nations en ont besoin pour se construire et se développer.
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