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Échéances

Samedi 31 Août 2024 - 20:28

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Dans à peine un mois, sans surprise, reviendront en force deux rendez-vous incontournables : la rentrée des classes et le retour des pluies.

Le premier se prépare dès maintenant, d'autant plus que les parents, tenus par les délais, doivent être en mesure de prendre de l'avance dans l'achat des fournitures scolaires de leurs petits protégés. À leur tour ces derniers, l'ayant sans doute appris, notamment les plus âgés, se rappelleront qu’en la matière, il est conseillé de s’investir dans l’apprentissage dès la première semaine de la rentrée des classes.

Le second rendez-vous est aussi redouté que le premier. Il l'est même davantage en raison de ses effets souvent inattendus et de son impact sur la vie de tous les jours. Si elle est lourdement pluvieuse, la saison prochaine verra Brazzaville et ses environs à nouveau plongés dans l'incertitude des érosions, inondations, glissements de terrain et autres calamités.

La difficulté pour cette échéance-là tient au fait que personne n'en a vraiment la maîtrise, ou presque. Lorsque des dispositions sont prises à temps, à l'exemple du parent préparant la rentrée scolaire de son enfant avant le début des cours, l'essentiel peut être sauvé. Pourtant, le constat est là : dans Brazzaville, les quelques travaux de voiries entrepris les semaines écoulées n'ont pas permis de boucher tous les nids de poule jonchant les principales avenues.

Dans Moukondo, Moungali, Ouenzé, les trous béants n’ont pas disparu. A Mikalou, le cas de la première sortie Nord de la capitale, à hauteur du lycée Thomas-Sankara, se passe de commentaire. Au-delà de la route fortement abîmée sur un périmètre n’avoisinant pas les 200 mètres, le mur d’enceinte de l'établissement scolaire voit ses abords se forer au jour le jour. Et c'est préoccupant.

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