Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fin mot du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
MélodieJeudi 26 Septembre 2019 - 21:11 Quelle qu’en soit la crise ou les maux qui affectent parfois le vécu de mélancolie, la musique est le moyen d’expression le plus approprié pour chasser les peurs, les craintes, les incertitudes économiques, financières et sociales, la violence des mots et la violence physique. Les artistes musiciens nous l’enseignent davantage en cette période de rentrée scolaire garnie non seulement d’achat de fournitures scolaires ici et là, mais aussi de spectacles dans quelques lieux et de nouveaux albums aux thématiques variées. L’agenda est riche. Difficile de le décrypter ici de manière exhaustive. Ce qui est évident, qu’il s’agisse de la scène du festival Mboté hip-hop rangée à l’Insitut français du Congo à Brazzaville, ce week-end, ou sur les podiums des rendez-vous ordinaires des orchestres, le délice est remarquable. Les affiches rassurent. Grands et jeunes artistes se disputent l’apothéose, en toute musicalité. Côté albums, c’est le grand retour dans les bacs pour certains. Zaïko Langa Langa avec son nouvel opus « Sève », Embeudah Musik qui signe un nouveau single « Beta Mbonda » ou encore la chanteuse MJ30 enrichissent ces moments de leurs opus harmonisés de thématiques sociales et d’amour. On s’en réjouit. Non sans une certaine déception toutefois : un contenu sans pudeur quelquefois... Pourvu que la musique, la bonne, adoucisse les mœurs. Les Dépêches du Bassin du Congo Edition:Édition du Samedi (SA) Notification:Non |

