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Mercredi 1 Décembre 2021 - 18:14

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La signature lundi, à Brazzaville, du troisième Accord bilatéral de suspension du service de la dette du Congo à l’égard de la France par le ministre Rigobert Roger Andely et l’ambassadeur de France, François Barateau, confirme, s’il en était besoin, que les liens unissant nos deux pays sont plus forts, plus fraternels que jamais. La confiance réciproque ainsi réaffirmée est d’autant plus importante qu’elle se concrétise dans le moment très particulier que nous vivons, où la crise sociale générée par la pandémie du coronavirus aggrave fortement les tensions économiques et financières que nous, Congolais, subissons depuis des années en raison notamment de la fluctuation des cours de l’« Or noir » sur les marchés mondiaux.

Réduire la dette nationale et faire en sorte que celle-ci ne plonge pas l’économie nationale dans un gouffre figurent de façon claire et à juste titre en tête des priorités de l’Etat. Mais cet objectif ne peut être atteint que si les grandes puissances comme la France aident les pouvoirs publics congolais à concrétiser ce grand dessein dans les meilleurs délais. Et c’est précisément ce qui vient de se produire entre Paris et Brazzaville au terme de longues et très positives discussions.

Le nouvel accord de suspension du service de la dette congolaise signé lundi avec la France est d’autant plus important qu’il s’inscrit dans le processus de remise en ordre de nos finances publiques que doivent concrétiser au plus vite, à la demande du chef de l’Etat, le gouvernement du nouveau quinquennat et son Premier ministre, Anatole Collinet Makosso. Une remise en ordre planifiée, organisée, structurée qui elle-même a permis la mise au point de l’accord avec le Fonds monétaire international dont la confirmation officielle sera très certainement actée par son conseil d’administration dans les jours à venir.

Ce processus d’assainissement des finances publiques présente un autre avantage majeur : celui de redonner confiance aux investisseurs publics et privés qui observent avec la plus grande attention ce qui se passe dans l’immense et très riche Bassin du Congo. Avec, de plus en plus clairement, le projet de faire de Brazzaville, capitale la plus sûre de cette partie du continent africain, le pivot de leurs activités à venir.  

 

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