Publié sur adiac-congo.com : toute l'actualité du Bassin du Congo (https://www.adiac-congo.com)

Accueil > Nature

Opinion

  • Éditorial
    - Les Dépêches de Brazzaville
  • Réflexion
    - Jean-Paul Pigasse
  • Le fait du jour
    - Gankama N'Siah
  • Humeur
    - Faustin Akono
  • Chronique
    - Boris Kharl Ebaka
  • Brin d’histoire
    - Mfumu
  • Tribune libre
    - Sergueï Lavrov
  • Idées-forces
    - Les Dépêches de Brazzaville
  • Analyse
    - Xinhua
  • Éditorial

Nature

Mercredi 4 Septembre 2019 - 12:21

Abonnez-vous

  • Augmenter
  • Normal

Current Size: 100%

Version imprimableEnvoyer par courriel


Ainsi donc, la protection de la nature a bien figuré au cœur de l’entretien, suivi d’un déjeuner, qui a permis à Emmanuel Macron et à Denis Sassou N’Guesso d’échanger longuement, précisément, sur la question vitale de la lutte pour la protection de la nature. Avec la signature d’une lettre d’intention entre le Congo et la France qui engage les deux nations à collaborer étroitement pour protéger les forêts du Bassin du Congo, mais aussi d’un accord concernant l’enseignement qui contribuera fortement à mobiliser le peuple congolais dans ce domaine dont dépend son avenir.

Accueilli par le président français de façon très amicale dans la cour du Palais de l’Elysée, Denis Sassou N’Guesso a constaté d’emblée, donc avant même d’échanger avec son homologue, que désormais Emmanuel Macron s’implique personnellement dans la protection de la nature et la formation des hommes. Avec une attention particulière pour le Bassin du Congo qui est, après l’Amazonie, le deuxième poumon de la planète Terre sur laquelle nous vivons et que menace très directement aujourd’hui la suractivité humaine.

Si l’on ne sait pas ce que se sont dit en tête-à-tête les deux hommes d’Etat lors de leur entretien puis de leur repas, on peut mesurer l’importance de ces propos à travers les textes qui ont été signés au terme de ces échanges. Des accords qu’il va falloir maintenant traduire en actes, mais qui confirment une volonté commune de coordonner les actions à venir dans le domaine de la protection de la nature et de l’enseignement afin qu’elles produisent tous les effets attendus par les deux nations. Ainsi donc ce que nous avons écrit ces derniers jours à propos du sommet bilatéral qui se préparait s’est trouvé confirmé, sinon par des déclarations officielles, du moins par les gestes symboliques qui l’ont accompagné.

Le Congo, notre Congo, est bien reconnu aujourd’hui par la plus haute autorité française comme l’un de ses partenaires africains les plus sûrs. Une reconnaissance à laquelle n’est pas étrangère la conclusion récente de l’accord avec le Fonds monétaire international qui nous permettra d’assainir nos finances. Mais une reconnaissance qui renforcera aussi la position du Congo dans la prévention et la gestion des crises qui affectent le continent, menacent la paix sur toute son étendue, empoisonnent les relations internationales.

 

 

Les Dépêches de Brazzaville

Edition: 

Édition Quotidienne (DB)

Notification: 

Non

Éditorial : les derniers articles
▶ 13/7/2025 | À la pompe
▶ 9/7/2025 | Poursuivre
▶ 5/7/2025 | Le couperet
▶ 2/7/2025 | Challenge
▶ 1/7/2025 | Ajuster
▶ 30/6/2025 | Réprimander
▶ 28/6/2025 | Circuler à Brazzaville
▶ 26/6/2025 | Bakolo mboka : l’héritage vivant
▶ 26/6/2025 | Nouvelles stratégies
▶ 25/6/2025 | Faux débat
  • Accueil
  • Partenaires
  • Annonceurs
  • Contact
  • Crédits
  • Mentions légales

Le Groupe

  • Les Dépêches de Brazzaville

  • Le Courrier de Kinshasa

  • ADIAC TV

  • Musée du Bassin du Congo

  • Éditions les Manguiers

  • Imprimerie du Bassin du Congo

Services

  • Abonnez-vous
  • Newsletter
  • Abonnement flux RSS
  • Abonnement média
  • Offre spéciale Entreprise
sas.cmd.push(function() { sas.render("94320"); // Format : Floor Ad 728x90 });

URL source: https://www.adiac-congo.com/content/nature-105083