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Mardi 26 Janvier 2021 - 18:29

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Chaque jour qui passe le confirme, hélas!, de façon accablante: la crise sanitaire provoquée par la pandémie du coronavirus génère partout dans le monde une crise économique et financière dont les conséquences sociales pourraient s’avérer terribles à très court terme. Enoncé dès l’apparition de la Covid-19, à Wuhan, en fin d’année 2019, ce diagnostic se confirme de jour en jour même si des pays comme la Chine, précisément, s’en tirent mieux que l’Europe, les Etats-Unis, l’Inde, la Russie et autres nations du globe. Il laisse prévoir une aggravation des tensions internes et externes d’autant plus forte que la mondialisation économique était jusqu’à présent le moteur du progrès sur les cinq continents.

 

Dans ce contexte, que l’apparition des « virus variants » en Angleterre et en Afrique du Sud notamment semble sur le point d’aggraver, rien n’est plus important, pour les pays comme le nôtre qui n’ont pas sombré dans la déprime collective, de prévenir les maux à venir. En maintenant, bien sûr, les dispositions sanitaires qui permettent d’empêcher la prolifération de la pandémie, mais aussi et simultanément en faisant en sorte que les activités économiques ne se réduisent pas comme peau de chagrin et génèrent des tensions sociales qui pourraient déstabiliser le pays dans son ensemble. Une stratégie d’autant plus importante, chez nous, que les autorités ont décidé à juste titre de maintenir l’échéance électorale présidentielle du 21 mars.

 

Protéger l’emploi, encourager l’investissement, aider les petites et moyennes entreprises à survivre, soutenir l’artisanat et le commerce, réduire le plus possible les charges sociales et fiscales, mettre un terme au moins temporaire au harcèlement des administrations sont autant de mesures qui peuvent et doivent permettre de surmonter la crise générale qui se profile à l’horizon des sociétés humaines. Si elles sont prises à temps notre pays aura toutes les chances de conjurer le mauvais sort qui le menace en rendant espoir à toutes celles et tous ceux qui travaillent, produisent, commercent, emploient.

 

Alors que se prépare la campagne électorale, les acteurs politiques qui présenteront leur candidature à la magistrature suprême feraient bien d’inscrire d’ores et déjà ces mesures en bonne place dans leur programme.

 

 

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