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Jeudi 19 Décembre 2019 - 8:45

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Entre les annonces contenues dans les grandes prises de parole du président de la République, comme cela a été le cas, le 17 décembre, à l’occasion de son message su l’état de la nation, et leur mise en chantier par l’exécutif, se pose-t-il un problème de relais ?  D’autant plus que le chef de l’Etat s’est vu obligé d’insister longuement sur un volet parmi tant d’autres, celui notamment du laisser-aller et son corollaire, l’absence de sanction dans l’administration publique. Il faut craindre qu’il n’ait épinglé la responsabilité des grands commis de l’Etat.

Citons ce passage de l’adresse du président de la République : « Assumer des fonctions appelle, dans certaines circonstances, des décisions disciplinaires à prendre et à faire appliquer. Ceux qui veulent diriger en restant innocents n’ont pas leur place là où ils se trouvent. L’efficacité que nous recherchons inlassablement n’est pas dans le laxisme. Quand on veut toujours se faire applaudir, il faut aller ailleurs ».

Considérons la dernière phrase de ce bref extrait du discours du chef de l’Etat qui, faut-il le rappeler, a duré une heure et demi, pour relever que dans une certaine mesure, il ne pourrait en être autrement, s’agissant de certains acteurs, que de vouloir se faire applaudir. Le président de la République l’a souligné lui-même dans cet autre aperçu de son message : « L’on observe beaucoup d’empressement à vouloir accéder à des postes de responsabilités dans les structure de l’Etat. L’engouement disparaît lorsqu’il s’agit de sanctionner comme si seuls ne comptaient que les privilèges et autres avantages liés à la position administrative occupée.

Et les Congolais de commenter à la suite du message du président de la République qu’il est temps que la sanction pour mauvaise manière de servir ou absence de résultat accompagne « La Marche vers le développement », programme du chef de l’Etat dont le bilan général du quinquennat interviendra à la fin de l’année prochaine.

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