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Mercredi 18 Août 2021 - 18:14

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Oui, retour sur un dossier qui intéresse tout le monde parce qu’il touche la santé publique. Celui du Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville (CHU-B), dont un nouveau directeur général a été nommé par décret du président de la République, en Conseil des ministres, le 28 juillet. Lors de sa prise de fonctions, le 13 août, le Pr Thierry Alexis Raoul Gombé, un cadre de la « maison », a répertorié les défis auxquels lui et ses collaborateurs ainsi que l’ensemble du personnel et les partenaires syndicaux devront répondre pour redonner vie à une structure chargée de sauver celles des hommes et des femmes qui en sont sa principale raison d’être.

La petite histoire connue du CHU-B, depuis que cet établissement sanitaire, le plus grand de l’arène congolaise, a revêtu ce statut il y a trente-trois ans, jour pour jour, est à peu près celle d’une suite de départs ratés en termes de performances. Son personnel est hautement qualifié quand on en réfère aux parcours de ceux qui y exercent à différents niveaux, mais peut-être les choix de gouvernance, les politiques en place ne sont pas appropriés. D’où, ces deux dernières années, la présence dans ses bureaux, aux plus hauts postes de direction, de spécialistes étrangers appelés à son chevet. Le résultat n’a peut-être pas été aussi concluant qu’on l’avait espéré, du fait, entre autres, des circonstances liées à la crise sanitaire de Covid-19.

Cette crise sanitaire est aussi certainement tombée sur un engrais que les équipes successives à la tête du CHU-B ont rendu responsable de « commissions illégales » attribuées à certains agents, d’une colossale « dette aux fournisseurs », tellement colossale qu’elle a été transférée à la Caisse congolaise d’amortissement, d’abus dans le recrutement des personnels, des retards de salaires. L’intersyndicale du CHU-B, accusée quant à elle d’entraver le travail de l’administration, parce qu’allergique aux « réformes », n’a jamais cessé de son côté de dénoncer l’amateurisme et l’absence de transparence dans la gouvernance de cette structure. Voilà pourquoi la nouvelle équipe dirigeante a du pain sur la planche.

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