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Réveil

Mercredi 27 Juillet 2016 - 13:18

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Ce qui ressort à l'évidence de très nombreux contacts que nous avons ces temps-ci, nous journalistes de la presse congolaise, avec les représentants des grandes puissances qui luttent - pacifiquement cela va de soi - afin d'accroître leur influence en Afrique est le fait que le Congo s'impose désormais comme l'un des pays avec lesquels il convient d'entretenir des relations, suivies, confiantes, positives.  À Paris, comme à Pékin, comme à Washington, comme à New-York et autres lieux de pouvoir de par le monde il a, sinon pleinement restauré son image, du moins franchi l'étape décisive de la considération. Et ce n'est pas rien étant donné l'image absurde que projetaient de lui jusqu'à présent de grands médias étrangers aussi mal informés que peu regardants sur le sérieux de leurs sources.

Le problème qui se pose à nous, maintenant que le Congo a franchi l'étape délicate entre toutes du changementr de ses institutions, est celui de l'exploitation rationnelle, pragmatique, efficace du capital qu'il a ainsi reconstitué. Car les difficultés de toute nature qu'engendre la chute brutale des cours de l'or noir sur les marchés mondiaux peuvent aisément être surmontées si les "Grands" se persuadent, preuves à l'appui, que la crise présente ne se traduira pas par l'effondrement de notre économie mais, au contraire, par une série de réformes intérieures qui en permettront la relance à brève échéance.

Pour dire ou écrire les choses de façon plus brutale, si les autorités congolaises appliquent de façon concrète les mesures annoncées dans le discours de "rupture" que prononça le président Denis Sassou N'Guesso le jour de sa prestation de serment la communauté internationale en générale, les puissants de ce monde en particulier miseront sur le Congo plus qu'ils ne l'ont fait dans les décennies antérieures. Alors, en effet, que plusieurs pays du Bassin du Congo entrent, ou rentrent à nouveau dans une zone de turbulence politique la stabilité de notre pays, assise sur des bases solides, durables, est perçue partout comme un atout maître qui en fait un partenaire incontournable.

La balle, en réalité, est dans notre camp. Si les réformes indispensables énoncées par la plus haute autorité de l'Etat interviennent rapidement, l'appui des "Grands" s'affirmera et les investisseurs afflueront vers nous.

 

 

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