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Jeudi 21 Novembre 2019 - 10:08

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Pour peu que l’on regarde les choses avec calme, il est possible de se rendre compte, malgré une conjoncture encore exigeante, que le Congo consolide peu à peu sa solvabilité mise à mal par la crise économique qui s’est soldée par l’alourdissent de sa dette. Dans la mise en œuvre des mesures édictées par l’accord que le pays a signé avec le Fonds monétaire international (FMI), l’appui budgétaire de la France, dont la première tranche devrait être versée le mois prochain, participe de cette évolution positive.

Les milieux informés de la haute finance internationale voudraient croire que le geste accompli par Paris à l’endroit de Brazzaville ne traduise pas seulement la solidarité dispensée à un partenaire de longue date qui en a besoin dans le moment présent. Il est un message envoyé à d’autres créanciers d’un Congo redevenu fréquentable afin qu’ils l’accompagnent dans les efforts de redressement de sa situation macroéconomique.

Comme un leitmotiv, la même exhortation entendue lors du passage de la délégation du FMI à Brazzaville, il y a quelques jours, a été reprise au moment du dévoilement du coût global de l’enveloppe de plus de 88 milliards francs CFA que la France versera au Congo jusqu’en 2021. A savoir, un regard toujours pointilleux sur le nature des dépenses, une attention particulière en direction des secteurs sociaux fortement éprouvés par la crise qui dure depuis six ans.  

Cela a été dit et redit ici même et, en d’autres circonstances, par des voix plus autorisées : les signaux encourageants que l’on voit s’accumuler depuis le 11 juillet, date de l’approbation du programme du Congo par le FMI, ne doivent pas faire oublier qu’ils portent en eux les clés de leur succès et de leur échec. Pour être optimiste et le rester sur toute la ligne, disons qu’ils exigent de la partie congolaise de poursuivre avec constance les réformes structurelles sans lesquelles ses partenaires ne pourront lui apporter le soutien qu’elle attend d’eux.

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