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Mardi 13 Avril 2021 - 18:25

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En même temps que l’appui multiforme qui sera apporté à la jeunesse congolaise durant toute la durée du nouveau quinquennat, la mise en valeur et la protection de la nature seront à coup sûr l’une des priorités que Denis Sassou N’Guesso fixera à son gouvernement et de façon plus générale à l’Etat. Comme le candidat-président l’a rappelé, en effet, tout au long de la campagne qui lui a permis de se faire réélire dès le premier tour de scrutin, le 21 mars, la terre, les forêts, le fleuve, les rivières, les étangs, les tourbières que nous ont légués les générations précédentes sont notre véritable capital.

 

Un capital dont peu de pays de par le vaste monde ont eu la chance d’hériter et qui prend aujourd’hui une dimension considérable dans un monde que menace la dégradation de l’environnement provoquée par la surindustrialisation et la sur-urbanisation. Mais un capital qui doit aussi être protégé tout en étant mis correctement en valeur si nous voulons que les générations à venir en héritent à leur tour.

 

En plaçant comme il l’a fait l’agriculture, au sens le plus large du terme, au cœur des actions que l’Etat, les administrations, la société civile et donc les simples citoyens que nous sommes devront mener dans les années et les décennies à venir, le président a placé la nature sur le devant de la scène et indiqué clairement qu’elle figure désormais en bonne place dans la liste des priorités du nouveau quinquennat. Ce qui aura comme conséquence immédiate que, d’une part, l’agriculture verra affluer vers elle les moyens techniques et financiers nécessaires pour produire plus et mieux ; et comme conséquence, à plus long terme, que le processus de lutte contre la déforestation, la dégradation des eaux, l’utilisation de produits chimiques dangereux va prendre une dimension majeure, faisant ainsi du Congo, de notre Congo, l’un des pays reconnus comme le plus respectueux de la nature.

 

Dans ce contexte tout indique aujourd’hui que Brazzaville deviendra dans le proche avenir l’un des lieux mondiaux où l’on réfléchit le mieux à la protection des poumons de la planète et que, de son côté, Pointe-Noire s’imposera comme le lieu où l’on se concerte afin de réduire la montée des océans dont les dégâts à venir s’annoncent terribles à tous égards.

 

 

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