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Question

Mardi 15 Mai 2018 - 20:13

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Cette question, nombreux sont les citoyens congolais qui la posent aujourd'hui plus ou moins ouvertement car, de la réponse qui lui sera apportée dans les jours ou les semaines à venir, dépendra pour une large part le rebond de notre nation.

Résumée en quelques mots, on peut ainsi l’énoncer: le temps n'est-il pas venu de changer le gouvernement, c'est-à-dire de constituer une équipe ministérielle capable de traduire en actes la volonté du chef de l'Etat, de moderniser la gouvernance publique, de résoudre les problèmes auxquels nous sommes confrontés collectivement, d'appliquer sans faillir les réformes intérieures qui permettront au Congo de repartir du bon pied ?

Il est certain, en effet, que si dans le même temps où nous passons un accord de long terme avec le Fonds monétaire international, la Banque mondiale, le Club de Paris et les différentes institutions spécialisées des Nations unies nous confions les rênes du pays à une équipe resserrée et compétente, le signal ainsi envoyé à la nation mais également  aux investisseurs étrangers créera un climat de confiance qui accélèrera fortement le processus de redressement intérieur que chacun de nous attend, espère. Se combinant avec une stabilisation durable des prix de l'or noir et donc avec l'assainissement des finances publiques, il démontrera la volonté de la plus haute autorité de l'Etat de reprendre la marche en avant engagée au sortir des guerres civiles du siècle précédent.

Faire en sorte que l'équipe ministérielle soit plus resserrée, plus jeune, plus équilibrée entre les hommes et les femmes, plus représentative de la société congolaise présente, plus compétente dans les domaines clés de l'activité humaine aurait pour résultat immédiat de rendre l'espoir à ceux qui l'ont perdu ces derniers mois. Sans doute une telle démarche ne permettrait-elle pas de résoudre la totalité des problèmes auxquels nous sommes présentement confrontés, mais l'on peut être certain qu'elle aurait des effets très positifs sur l'ensemble du territoire national.

Dans le monde très ouvert où nous vivons désormais, rien n'est plus important, nous semble-t-il, que de convaincre la société civile de l'efficacité de l’équipe qui devra réaliser les réformes annoncées.

 

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