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Diplomatie

Samedi 12 Novembre 2016 - 16:39

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Ce qui vient de se passer aux Etats-Unis avec l'élection de Donald Trump et qui se passera demain dans plusieurs pays amis du Congo, la France en particulier, devrait en bonne logique nous amener à dynamiser notre diplomatie beaucoup plus qu'elle ne l'est aujourd'hui. Les pièces bougeant rapidement sur l'échiquier international les nations émergentes comme la nôtre peuvent, en effet, tirer de grands avantages du nouvel équilibre qui s'instaure.

Entendons-nous bien, cependant, avant d'aller plus loin : ce qui précède ne constitue nullement une critique plus ou moins voilée à l'encontre du ministre des Affaires étrangères, Jean-Claude Gakosso, et de son équipe, mais concerne très directement les différentes représentations du Congo partout où se joue cette partie décisive. Car si la diplomatie congolaise ne relaie pas sur le terrain les actions lancées par le chef de l'Etat que doivent mettre en oeuvre la présidence de la République et le ministère des Affaires étrangères, il y a de fortes chances pour que les opportunités présentes ne soient pas réellement saisies par nous.

Ce qui vient de se passer à Paris, où un homme d’expérience, l'ancien ministre Rodolphe Adada a pris en main les rênes de notre Ambassade, ne devrait pas se limiter à la France, mais s'étendre, si nécessaire, aux représentations diplomatiques installées dans les lieux où se prennent les décisions stratégiques du temps présent. Et ceci devrait concerner aussi bien les capitales des grandes puissances que les sièges des institutions internationales, partout dans le monde.

Alors que se jouent en Afrique des parties décisives et que le Congo, en raison de sa position géographique et de l'expérience de son président, se voit appelé à agir de façon croissante pour la prévention et la gestion des crises il est important, essentiel même, que ses initiatives soient relayées constamment dans toutes les grandes capitales. Or c'est loin d'être le cas, nous sommes là pour en témoigner même si cela ne plait pas à tout le monde.

Washington, New York, Paris, Londres, Bruxelles, Rome, Genève, Moscou, Beijng, New-Delhi, Tokyo, Rio de Janeiro, Buenos Aires, Cuba, Pretoria, Alger, Le Caire, Abuja. La liste des lieux de pouvoir où le Congo doit faire entendre clairement sa voix n'est pas si longue que l'on ne puisse résoudre ce problème sans délai.  

 

 

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