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Joie

Mercredi 9 Septembre 2020 - 18:37

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En ces temps assez moroses, marqués par la circulation toujours redoutée du virus à l’origine de la pandémie de Covid-9 et la série de mesures, dites barrières, aux effets contraignants sur le quotidien des populations, un cri de joie peut surprendre. Parce qu'il pousserait à se demander de quoi peut-il être fait. Eh bien, ce cri a été libéré à voix multiples par les petits collégiens congolais reçus, cette année, à leur Brevet d'études du premier cycle, le BEPC.

A la proclamation des résultats lundi soir, comme ils en ont pris l'habitude depuis quelques années, à Brazzaville, les candidats ont envahi les cybercafés de la place ou lancé une connexion sur leur téléphone portable pour accéder aux résultats. Les cris dont il est question venaient des plus heureux de la soirée. Ils ont franchi une nouvelle étape dans leur cursus scolaire en devenant des lycéens.

Ces admis au BEPC session-2020 ont aussi en souvenir les moments particuliers quand ils ont affronté cet examen en pleine crise sanitaire. Ils prennent conscience qu'il leur faut encore travailler dur pour aller de l'avant car les études sont souvent un long parcours, surtout pour ceux d'entre eux qui n'ont pas oublié que l'avenir a beau être une page blanche, comme disait le poète, il appartient sans conteste à ceux qui se lèvent tôt et travaillent à son accomplissement.

D'ici là, peut-être que l'étau du coronavirus se desserrera pour libérer un peu plus les énergies que ce mal invisible prive d’opportunités depuis neuf mois. Quand cela sera le cas pour le Congo comme chacun le souhaite, élèves, étudiants, enseignants, travailleurs, commerçantes et commerçants seront moins stressés d’autant que les mesures barrières dues à la crise sanitaire s'ajoutent aux difficultés que les Congolais en général et les Brazzavillois en particulier éprouvent pour aller d’un point à l’autre de la ville du fait de la précarité des circuits du transport en commun.

 

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