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Modernité

Lundi 30 Décembre 2019 - 10:45

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Le véritable défi que doit relever aujourd’hui le Parti congolais du travail (PCT) est bien celui de la modernité, c’est-à-dire, celui de l’adaptation de ses institutions, de sa gouvernance, de son idéologie aux réalités du temps présent. Un défi, soit dit en passant, qui se pose dans les sociétés modernes  à toutes les grandes formations politiques dont la présence sur la scène civique est établie depuis des décennies et qui jouent un rôle important dans la conduite des affaires publiques de leurs nations à travers les gouvernements, les assemblées parlementaires, les institutions locales et régionales. De la façon dont ce défi sera relevé, chez nous comme ailleurs, dépend en effet pour une large part l’évolution à venir du système démocratique dans lequel nous vivons.

Les débats qui se sont multipliés ces derniers mois en vue de la préparation du Congrès ordinaire du PCT, dont nous vivons aujourd’hui les premières heures, ont montré que les cadres comme les membres de cette puissante force politique attendent beaucoup des échanges à venir. S’ils n’ont pas provoqué de rupture entre les différentes tendances qui quadrillent le parti ils ont montré, d’une part, la volonté de la majorité à faire bouger les lignes dans le bon sens, c’est-à-dire, dans le sens de l’adaptation des instances dirigeantes du parti aux réalités présentes, d’autre part, la volonté de la génération montante à faire mieux entendre sa voix dans ces mêmes instances.

C’est très précisément cette double volonté qui est remontée ces derniers mois progressivement vers nous, observateurs de la scène politique congolaise, et qui, très probablement, marquera d’une façon ou d’une autre ce cinquième congrès ordinaire du PCT. Avec en toile de fond, et ce n’est pas rien, les deux échéances politiques majeures que seront dans les trois années à venir l’élection présidentielle et les élections législatives, échéances auxquelles le principal parti de la majorité présidentielle va devoir consacrer toute son énergie dès le début de l’année 2020.

Ce que le PCT doit démontrer maintenant  de façon claire c’est qu’il a pris la juste, la pleine mesure des problèmes que notre pays doit résoudre dans de nombreux domaines et qu’il leur apportera des réponses claires dans les programmes qu’il défendra demain sur la scène électorale. 

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