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Samedi 8 Mars 2025 - 18:04

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C'est à quelques mots près le contenu du communiqué rendu public par le ministre de l'Intérieur et de la Décentralisation. Daté du 3 mars, il porte sur un sujet qui ne manque pas d'intérêt à quelque douze mois de l'élection présidentielle de l'année prochaine : la mise en œuvre des dispositions légales régissant les partis politiques en République du Congo. 

La loi organique du 12 mai 2017 invoquée par le ministre fixe les conditions de création, d'existence et les modalités de financement des partis politiques. Suivent en certains de ses articles l'obligation faite aux dirigeants de mettre à jour les documents administratifs requis et le respect des délais légaux de déclaration de leurs mouvements.

En l'espace de huit ans, de nouvelles formations politiques ont vu le jour. Leurs fondateurs, cela va de soi, nourrissent l'ambition légitime de conquérir le pouvoir suprême par voie d'élections. Une chose est certaine, héritée de la Conférence nationale souveraine de 1991, la prolifération des associations politiques au Congo est une réalité. 

À côté des partis trentenaires comme le Mouvement congolais pour la démocratie et le développement intégral, le Rassemblement pour la démocratie et le développement, l’Union panafricaine pour la démocratie sociale, et le Rassemblement pour la démocratie et le progrès social, le plus ancien d’entre eux étant le Parti congolais du travail, 50 ans passés, de nombreux autres concurrents naissent et disparaissent au rythme de la vie politique nationale. 

L'une des questions parmi tant d'autres qui se pose au regard de cet engouement est de savoir si toutes les formations politiques de l'arène congolaise remplissent les conditions requises pour continuer à exercer. La réponse est à trouver dans le « toilettage » exigé par le ministère de l’Intérieur.

Par expérience, dès qu’il est question de s’en tenir aux textes, les politiques congolais trouvent le moyen d’y opposer la pratique quotidienne caractérisée par le désir de naviguer à vue. Se conformeront-ils cette fois à la réglementation ? Observons ! 

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