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Nature

Lundi 8 Novembre 2021 - 16:48

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Quitte à répéter une fois de plus cette évidence dans l’époque très particulière où  nous vivons, rappelons à tous ceux qui nous lisent sur les deux rives du fleuve Congo mais aussi partout ailleurs dans le monde grâce à la version numérique de nos deux quotidiens, rappelons leur donc que la protection de la nature commande notre destin collectif. Et que par conséquent chacune, chacun de nous où qu’il vive et respire doit s’employer à la protéger avec les moyens dont il dispose.

Ceci est d’autant plus vrai que la zone géographique dans laquelle nous vivons, l’immense et très riche Bassin du Congo, occupe une place essentielle et joue un rôle clé dans la lutte contre le dérèglement climatique qui menace désormais l’humanité tout entière. S’il est vrai que les décisions prises solennellement à Glasgow où s’achèvera dans quelques jours la COP 26 ne seront probablement pas exécutées en raison de l’incapacité des Grands de ce monde à traduire en actes leurs nobles engagements verbaux, il l’est plus encore que la survie de notre espèce doit être pour une large, très large part, assurée grâce à l’engagement de chacun de nous pour la protection de la nature.

Si nous ne jetons plus nos déchets dans les ruisseaux qui nous entourent, si nous exploitons raisonnablement le sol et le sous-sol sur lesquels nous vivons et n’employons plus de produits chimiques polluants pour en tirer un plus grand bénéfice, si nous évitons de dégrader l’air que nous respirons en surexploitant des moteurs avides d’essence ou de gasoil, si nous luttons contre la déforestation et veillons à la survie des tourbières, si nous faisons en sorte que l’eau des rivières soit protégée tout au long de leur parcours alors, en effet, nous participerons activement à la préservation de la nature dont dépend notre propre survie.

La pire erreur que nous pourrions commettre dans le temps présent serait de sous-estimer la responsabilité personnelle qui est la nôtre dans la bataille vitale qui s’engage à l’échelle planétaire et de croire que les Etats, les gouvernements, la puissance publique entendue au sens large du terme sont seuls responsables de ce qui arrivera dans les années et les décennies à venir. Oui, la protection de la nature dépend en vérité de chacune, de chacun de nous ! Mieux vaut en prendre conscience sans plus attendre.

 

 

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