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Des ravinements de terrain, un casse-tête !

Samedi 26 Février 2022 - 15:45

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Les ravinements de terrain sont aussi bien un casse-tête pour les pouvoirs publics que pour des citadins habitant les zones concernées. Le constat qui se dégage, en temps pluvieux, est que rarement un mois ne passe sans que la population de ces zones ne lance son cri de détresse aux pouvoirs publics

Ces ravinements sont devenus monnaie courante dans des quartiers périphériques. Des glissements et fissurations de terrain sont causés aussi bien par des changements climatiques que par l’action incontrôlée de l’homme sur son environnement immédiat. En luttant contre les changements climatiques, on devrait aussi lutter contre ces causes anthropiques. Ces dernières années, des données météorologiques signalent que des excès enregistrés çà et là affectent nos sols, nos forêts, nos rivières, nos fleuves…, causant des angoisses, lamentations, pleurs et stress de la population.  

Des quartiers comme Ngamakosso et Massengo à Brazzaville, Mongo-Mpoukou et Ngoyo à Pointe-Noire, sont des lieux de ces fameux spectacles où la population assiste avec tristesse comment des édifices s’écroulent à une vitesse exponentielle.  

Au plan social, c’est surtout les moins nantis qui en font les frais. D’où des associations qui naissent ici et là pour appeler à l’assistance des pouvoirs publics. Parfois celles-ci s’organisent en vain en s’efforçant d’étouffer ces ravinements en jetant des sacs de sable, des épaves de voitures, des détritus de tout genre et même en plantant des bambous de Chine. La situation de l’école Emeraude avec d’autres habitations environnantes qui s’étaient écroulées au quartier Mikalou, à Brazzaville, en est une illustration. 

Les pouvoirs publics doivent agir de façon permanente à travers des aménagements continus de ces ravinements pour que la population victime retrouve un sourire.    

A bon entendeur, salut !    

              

Faustin Akono

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