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Mercredi 31 Juillet 2024 - 19:37

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L’organisation des  Jeux olympiques à Paris  marque  la fin  de l’olympiade 2020-2024. Mais  avant  de procéder au renouvellement des instances dirigeantes des fédérations sportives nationales, il est temps de  tirer les enseignements qui s’imposent  et éviter  de reproduire les mêmes erreurs lors de la nouvelle période quadriennale 2024-2028.

Le Comité national olympique et sportif congolais (Cnosc)  a pris les devants quand il analysait, lors de son assemblée générale ordinaire tenue le 20 juillet à Brazzaville, la baisse de la performance collective  en  justifiant  que 2024 était une année charnière qui doit amener les athlètes congolais à faire mieux. Un encadrement de qualité  devra permettre de tourner la page de l’échec. « Vaut mieux prévenir que guérir », dit un dicton populaire.

Des changements dans le processus de préparation sont souhaités, car il existe actuellement un contraste entre les déclarations faites en amont et la réalité sur le terrain. L’objectif d’augmenter la taille de la délégation congolaise aux JO n’étant pas atteint, le Congo  s’est  contenté de quatre places d’universalité : on fait  du surplace.

Sur la route de Paris, la préparation de nos athlètes a été incontestablement peu satisfaisante.  Sans  compétition test, les rares  initiatives prises n’ont pas pesé dans la balance au même titre que les propositions faites au cours d’une concertation avec les dirigeants des différentes organisations sportives qui  tardent à se concrétiser.

Ce  nouvel échec  oblige les gestionnaires des Sports à rechercher des solutions devant  conduire  nos athlètes à de meilleurs résultats aux prochains Jeux africains et olympiques en s’appuyant sur la thèse selon laquelle il faut au minimum quatre ans pour former  des futurs médaillés.

 

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