Opinion
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CinémaJeudi 31 Mars 2022 - 19:32 Nous assistons ces dernières années à un foisonnement d’une quantité remarquable de productions cinématographiques au Congo grâce aux technologies numériques. En pleine renaissance, le cinéma congolais fait bonne mine et les œuvres de plus en plus soignées attirent l’attention jusqu’à glaner de prestigieux prix hors de nos frontières. C’est vrai que beaucoup reste à faire. Le potentiel économique de cette industrie demeure largement inexploité. L’écosystème est quasiment incompris. Producteurs et acteurs se battent seuls à relever le défi de l’existence et d’une passion qui fait vivre au-delà de tout obstacle. Car si plusieurs pays ont déjà mis en place de vraies commissions cinématographiques nationales, avec un soutien financier aux cinéastes, le plus souvent sous la forme de petites subventions ou d’aides, le Congo traîne encore les pieds. En attendant le beau ciel, les acteurs ne baissent pas les bras. Il ne se passe plus un seul trimestre sans annonce d’un nouveau projet. Alors que les quelques salles de cinéma ont repris du service, les productions suivent leurs plans tant bien que mal. La dernière en date, le film de Michael Thamsy, son tout premier sous la casquette de réalisateur, à suivre dans quelques jours à Pointe-Noire. Les Dépêches du Bassin du Congo Edition:Édition du Samedi (SA) Notification:Non |