Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
CursusMardi 5 Août 2025 - 18:28 Pour les bacheliers congolais, l’inscription à l’université ou dans d’autres établissements d’enseignement supérieur est très souvent source d’embarras et de questionnements. Il est vrai que certains déterminent très tôt leurs centres d’intérêts pour se former dans telle ou telle filière, mais ce n’est pas toujours le cas pour la majorité d’entre eux. Face à l’impérieuse nécessité de permettre à notre jeunesse d’explorer les contours, enjeux et exigences liés aux différentes filières universitaires, les pouvoirs publics organisent le Salon de l’information et de l’orientation des bacheliers qui se tient actuellement à Brazzaville. Les élèves ayant obtenu le baccalauréat cette année peuvent y recueillir toutes les informations appropriées pour éviter l’échec ou le décrochage en cours de parcours. Les offres de formation mises en relief par des universités publiques, des établissements conventionnés, privés de l’enseignement supérieur donnent la latitude de choisir des options en tenant compte des compétences individuelles, des aspirations personnelles et des opportunités professionnelles. Sensibiliser les bacheliers aux réalités universitaires est une initiative louable que nul ne contestera. Mais il est indispensable aujourd’hui d’améliorer et diversifier l’offre de formation en tenant compte des exigences du marché du travail. Ce processus requiert une culture académique qui intègre et valorise les nouveaux cursus.
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