Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
CopierMercredi 10 Septembre 2025 - 17:29 Les dix ans d’existence du Volley club Renaissance de Mpila sont encore dans toutes les têtes. La formation s’étant forgée une réputation, elle a permis à plusieurs jeunes volleyeurs de rejoindre l’élite sportive. Ce moment de partage a permis de dévoiler une ambition légitime : celle de faire de cette équipe un vivier de jeunes pousses au niveau du département de Brazzaville. C’est un défi de taille et un signal envoyé à ses concurrents qui accusent des faiblesses dans le domaine de la formation, une qualité réservée uniquement aux passionnés. A vrai dire, il n’y a pas de mal à copier ce qui marche chez autrui. Au contraire, c’est ce qui permettra d’éviter de prendre un produit venu d’ailleurs pour contraindre son club formateur à un éternel recommencement. En revanche, le concurrent gagnera plus de respect en misant lui aussi dans la formation des tout-petits. C’est une question de volonté et c’est dans ce domaine que le club de Mpila excelle. Sa politique qui consiste à quitter sa zone de confort pour s’ouvrir enfin à d’autres quartiers de la ville vise à appuyer la Fédération congolaise de volleyball dans la mission de promouvoir, développer et favoriser la pratique de ce sport sur le territoire national grâce à son expertise. Mais le succès de cette vision doit reposer sur des fondations solides. Le retour aux fondamentaux s’impose aujourd’hui comme une solution durable pour fortifier les clubs et rendre les compétitions attractives. Pour donner plus d’ampleur à ce vaste chantier, il est nécessaire de signer des partenariats avec les autres fédérations étrangères en vue de revaloriser le travail effectué. Cette option conjuguée avec le talent dont nous disposons fera en sorte que l’on reparle du Congo dans le bon sens du terme. Les Dépêches de Brazzaville Edition:Édition Quotidienne (DB) Notification:Non |