Brèves High-Tech

Piratage

Des smartphones de plus en plus ciblés

La tendance est au point fort selon l’analyse du site spécialsé « Logiciel Espion ».

Une fois installées sur votre iPhone ou un autre smartphone Android, ces applications encore appelées piratage, système malveillant ou logiciel espion peuvent sniffer vos données bancaires à votre insu ou qui dans certains cas permet même d’écouter les appels ou de récupérer les messages sur les applications de voix comme Skype, Viber, WhatsApp…

Ainsi, toutes les données qui transitent via votre smartphone peuvent être tracées jusqu’aux informations de géolocalisation. Certaines applications peuvent même faire croire au propriétaire que son téléphone est éteint en simulant un écran éteint.

Internet n’est pas une zone de non droit il faut donc veiller aux contenus à mettre sur la toile.

Appel et Google s’intéressent au service de télévision en ligne

L’idée derrière la tête d’Apple et de Google est de proposer un service de télévision accessible depuis Internet, permettant aux utilisateurs de voir plusieurs contenus pour un certain tarif mensuel.

Les deux filiales ont respectivement des discussions avec les chaines de télévision pour passer des accords. Les négociations sont en cours. Espèrant qu’elles aboutissent.

Programme malveillant

Nul est à l’abri du « Skimer »

Ce logiciel aurait déjà infecté des milliers de distributeurs de billets de banque, dans des pays dévéloppés comme les Etats-Unis, la Chine, la Russie, mais aussi l’Espagne ou la France.

Le malware jouit d’une invisibilité qui lui permet de soutirer de l’argent sans aucune trace et sans aucune présence physique. Dans les détails, le site 01.Net explique que ce programme peut être installé sur un distributeur automatique de billets de banque par accès direct ou par le réseau interne d’une banque.

D’après Kaspersky, l’activation de Skimer permet aux pirates de retirer de l’argent sans compter, mais aussi de collecter les données des cartes bancaires (numéros et codes secrets). De nombreux hackers auraient déjà utilisé le logiciel afin de créer de fausses cartes bancaires.

Pour les victimes une solution s’impose : faire opposition rapidement en prenant contact avec son agence bancaire.