Opinion
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Amadeus 242Jeudi 18 Mai 2023 - 20:30 En 1791, Mozart meurt sans finir son Requiem. Le génie, qui se dégage des maigres pages originelles parvenues jusqu’à nous, a poussé de nombreux compositeurs à compléter la partition de cette messe aux morts. Devenu mythe, le Requiem est aujourd’hui une œuvre jouée partout dans une version achevée par d’autres. De grands artistes de renommée aux amateurs chevronnés, l’œuvre de Mozart est repensée, retouchée avec des aménagements toutefois riches qu’audacieux sans en extraire l’âme. Bien que le chef-d’œuvre ne soit pas aisé à interpréter, et que le genre musical soit quelque peu élitiste, Régis Segala, directeur délégué de l’Institut français du Congo, n’a pas hésité à programmer une soirée dédiée autour d’une alliance culturelle sur le Requiem de Mozart. Aux commandes de ce concert, un duo inédit de deux univers artistiques distincts qui vont faire converger leurs talents pour offrir une recette à la hauteur des attentes. Le grand Kojack Kossakamvwe, guitariste de notoriété internationale, assisté de Ghislain Pambou, chef de chœur connu, se proposent d’apporter chacun, derrière une soixantaine d’artistes, un segment de la richesse culturelle européenne et africaine pour concocter ce « Amadeus 242 », du nom de ce spectacle prévu pour ce 20 mai. Les Dépêches du Bassin du Congo Edition:Édition du Samedi (SA) Notification:Non |