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Mardi 25 Août 2015 - 17:14

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Nigéria: Ban Ki-moon exprime sa solidarité aux populations face aux violences de Boko Haram

Venu commémorer le quatrième anniversaire d’une attaque de Boko Haram contre le siège de l’ONU à Abuja, qui avait fait 24 morts en 2011, Ban Ki-moon a également salué la « plus grande stabilité et paix » au Nigeria depuis l’arrivée au pouvoir en fin mai du président Muhammadu Buhari.

Après avoir félicité le Nigeria pour l’organisation au printemps d’élections « libres et justes », le patron de l’ONU a déclaré : « Pour la première fois dans l’histoire du Nigeria, un président en exercice a cédé le pouvoir pacifiquement à un candidat de l’opposition lors d’une élection démocratique ».

Les entretiens avec Muhammadu Buhari avaient porté sur le développement, les droits de l’Homme, la paix et la sécurité, et notamment les niveaux inquiétants de violence et de terreur perpétrés par Boko Haram dans le nord du Nigeria et au-delà.

Côte d’Ivoire: l’ex-aide de camp de Simone Gbagbo se pourvoit en cassation

Le tribunal militaire d’Abidjan avait condamné le 4 août le commandant Anselme Séka Yapo, à 20 ans de prison pour « assassinat » durant la crise postélectorale de 2010-2011. Son avocat, Maître Mathurin Dirabou a réagi en expliquant qu’ils ont introduit un recours en cassation contre la décision parce qu’il y a eu violation de la loi.

En novembre prochain, la Cour de cassation examinera la justesse du verdict au regard du droit.

Surnommé « Séka Séka », cet officier de gendarmerie a été reconnu coupable, après deux mois de procès, d’avoir assassiné le chauffeur de l’ancien ministre chargé des Droits de l’Homme et actuel porte-parole du Rassemblement des républicains (RDR, au pouvoir), Joël N’Guessan appelé comme témoin.

Guinée-Bissau: Olusegun Obasanjo plaide en faveur de la paix

L’ancien président nigérian, médiateur dans la crise en Guinée-Bissau, qui craint un nouveau coup d’Etat dans le pays a incité les politiques au dialogue.

Après plusieurs mois d’une tension politique dans ce pays, la crise a définitivement éclaté le 12 août dernier, lorsque le président de la République, José Mario Vaz a dissous le gouvernement et limogé son Premier ministre, Domingos Simoes, arguant d’une « crise de confiance » au sommet de l’Etat. Les deux hommes sont pourtant issus des rangs du même Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert.

Yvette Reine Nzaba

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