COP21 : « Penser globalement pour agir localement », prône le RDHD

Samedi 28 Novembre 2015 - 11:29

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Le Réseau développement humain durable (R.D.H.D), a organisé en son siège social à Pointe-Noire  Congo - Brazzaville,  sous la férule de son coordonnateur interafricain, Écologiste-Chercheur : Majep Obama, un Focus group sous le thème :  «The climat change, it’s time for decisions now » en lien avec la Conférence des Parties, dite COP 21 de la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, qui se tiend à Paris en France, du 30 novembre au 11 décembre 2015.

Selon le RDHD, les changements climatiques ont déjà et continuent à produire des conséquences incommensurables sur le village planétaire : Terre, qui sont de caractère : humanitaire dont : Tremblements de terre (séismes) , sécheresse, inondations ; insécurité alimentaire,  sans omettre la disparition des glaciers …

Alors que les Pays de la corne de l’Afrique sont les plus vulnérables. Le maintien de la biodiversité étant une thématique nécessaire du développement durable avec ses trois composantes : la diversité génétique,  la diversité spécifique  et la diversité éco systémique, le RDHD s’articule sur la réserve biosphère, avec l’intégration des communautés animale et végétale, en vue d’une utilisation présente et future, dont le design environnemental s’impose.

Les membres du RDHD sont conscients des informations de nature scientifique, technique et socio-économique édictées par l’Intergouvernemental Panel on Climat Change (IPCC) détenteur du Prix Nobel de la Paix en 2007, qui sont des stratégies d’adaptation et d’atténuation, auxquelles le Village planétaire est interpellé, et avec lesquelles lesdits membres du Réseau font leur cheval de batail dans le cadre de la sensibilisation sur le réchauffement planétaire.

Il faut relever en passant que les Forêts du Bassin du Congo regorgent des vastes étendues interconnectées de forêts tropicales humides, grande réserve de puits de carbone, des énormes faune et flore variées, en somme, régulent l’ H20 et le C02. Elles jouent un rôle essentiel dans la régulation en climat et offrent un moyen rentable de réduire le Gaz à effet de serre (GES) à l’échelle mondiale.

En faisant recours à notre thème du Focus group ci-dessus indiqué, nous disons que la COP 21 doit faire le cap en matière de financement structurant tout en créant des start-up dans une intelligence économique, afin d’éradiquer l’extrême pauvreté en Afrique, conformément aux Objectifs du développement durable (ODD) du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) de son Plan ‘’B’’.

Le maintien des grands équilibres écologiques qui incombent les forêts, les climats, les diversités biologiques, la réduction des risques et de la prévention des impacts environnementaux, préservent le Village planétaire qu’est le Monde humain, animal et végétal. 

‘’Penser globalement, pour agir localement ! .

 

Hervé Brice Mampouya

Légendes et crédits photo : 

la forêt de Dimonika dans le Kouilou crédit photo"Adiac"

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