Pointe-Noire : l’Association des anciens élèves de l’ENAM souhaite relancer ses activités.

Jeudi 23 Octobre 2014 - 16:30

Abonnez-vous

  • Augmenter
  • Normal

Current Size: 100%

Version imprimable

Ladite réunion d’évaluation de la vie de l’association des anciens élèves de l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (AENAM) s’est déroulée mercredi 22 octobre 2014 dans la salle de conférence de Suéco sous la direction d’Aimé Augustin Ebiou, membre du Conseil national de gestion et président du bureau exécutif interdépartemental de Pointe-Noire et du Kouilou.

Ce qui a suscité ces retrouvailles a indiqué le président du bureau exécutif interdépartemental, c’est l’hibernation dans laquelle s’est plongée l’AENAM, une léthargie causée par la direction nationale de l’organisation. A l’issue des échanges fructueux, il a été décidé de la mise en place d’une commission ad ‘hoc de huit membres dirigée par Aimé Augustin Ebiou. Celle-ci se chargera de convoquer une assemblée générale extraordinaire le 15 décembre 2014 prochain.
Rappelant aux participants l’historique de l’association, l’orateur déclare : « L’idée de création d’une association des anciens élèves de l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (AENAM) était née au cours d’un séminaire de réflexion sur le thème, Déontologie de la Fonction Publique et développement économique et social, qui avait été organisé par le Département des carrières judiciaires de l’ENAM du Congo du 19 au 23 mars 1984 à Brazzaville suivant la décision prise en juillet 1983 par le Comité scientifique et pédagogique de l’Ecole », a-t-il dit.
Avant de terminer, le président en charge de la commission ad’hoc souhaite voir le jour de ladite assemblée une affluence d'Enarques de toutes les promotions afin que les choses soient de nouveau mises sur les rails et que la vie de l’association reprenne sans entorse.
 Entendons par Anciens Elèves de l’ENAM, tout élève sorti de cette haute institution scolaire de l’Administration et de Magistrature du Congo, titulaire soit d’un brevet de l’ENAM pour ceux du cycle moyen, soit du diplôme de l’ENAM pour ceux du cycle supérieur, au-delà des origines ethniques, des opinions politiques et religieuses.
 

Faustin Akono