Pointe-Noire: le maire du quatrième arrondissement installé dans ses fonctions

Lundi 12 Février 2024 - 17:15

Abonnez-vous

  • Augmenter
  • Normal

Current Size: 100%

Version imprimable

La passation de service entre le maire entrant de Loandjili, Max Jean Toussaint Loemba, et le sortant, Apollinaire Molébé, a eu lieu il y a quelques jours sous les auspices de Jean-Pascal Koumba, secrétaire général de la préfecture de Pointe-Noire, représentant le préfet de la ville.

 Après donc treize mois d’intérim à la tête de Loandjili, Apollinaire Molébé passe le témoin à Max Jean Toussaint Loémba pour conduire les destinées de ce quatrième arrondissement de Pointe-Noire.

La lecture du procès-verbal, la signature de registres par les deux autorités ainsi que la remise de bien d’autres documents administratifs ont été les points forts de cette cérémonie de passation de témoin.

 Le maire sortant a laissé quelques consignes à son successeur, notamment sur la sécurisation du siège social dudit arrondissement. « Je quitte cet arrondissement avec de bonnes impressions, j’ai trouvé ici un personnel très disponible et travailleur. Je demande à mon successeur de faire de telle sorte que les consignes et les orientations rigoureuses soient données à l’endroit des agents, être véritablement regardant en ce qui concerne la signature de toute pièce et surtout veiller à la sécurisation du siège de l’arrondissement où le vandalisme règne tout le temps», a dit  Apollinaire Molébé. 

Dans son mot de circonstance salué par des salves d’applaudissements, le nouveau maire a remercié son prédécesseur pour le travail abattu et salué par tous. En ce qui concerne ses priorités, Max Jean Toussaint Loemba a promis d'être à la hauteur des espérances afin de donner à son arrondissement ses lettres de noblesse,

Notons que Max Jean Toussaint Loemba a d’abord été administrateur-maire du premier arrondissement, Patrice-Emery-Lumumba, durant dix-huit mois. Une période au cours de laquelle il a rénové le siège social de cet arrondissement dont les bâtiments datent de 1937, offrant ainsi un cadre de travail agréable aux agents municipaux. La discipline et la rigueur prônées ont également permis d’éradiquer les trafics des actes d’état civil.

 

 

Hugues Prosper Mabonzo

Légendes et crédits photo : 

Max Jean Toussaint Loemba / DR

Notification: 

Non