Référendum constitutionnel : l’ACAP plaide en faveur de la paix

Dans le cadre de la réforme des institutions, le président de la République a convoqué le corps électoral le 25 octobre prochain en vue de doter le Congo d’une nouvelle loi fondamentale par le biais du référendum constitutionnel. Pour l’ACAP, la convocation de ce scrutin dont l’objet est de recueillir les avis du peuple congolais sur le Oui ou le Non, est conforme aux textes légaux en vigueur au Congo, notamment l’article 3 de la Constitution du 20 janvier 2002.

« Le peuple est libre et souverain de dire Oui ou Non, et cela dans la concorde nationale, la solidarité, la paix pour un Congo hospitalier, selon des témoignages de la majorité des délégations étrangères », indique la déclaration.

L’ACAP se souvient encore de son rôle joué lorsqu’elle était à la tête de la société civile congolaise dans le cadre de la réconciliation des filles et fils du Congo après les accords de Pointe-Noire et de Brazzaville en 1999. « Après les guerres civiles à répétition que notre pays a connues pendant la période 1995-1997, l’ACAP à la tête des combattants pour la cause de la paix et l’amitié entre les peuples a joué un rôle important pour le retour de la paix dans notre pays et ses environs », a-t-elle rappelé.

Messager de paix des Nations unies, cette ONG se réjouit, par ailleurs, parce que le Congo, qui privilégie la voie du dialogue, est en passe de se doter de nouvelles institutions fortes pour son avenir.